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Chose promise est chose dûe
--> Voici la suite l'histoire
J'avais promis la suite de l'histoire, alors je me dois de vous la donner, bien qu'il y ait moults sujets dont je voudrais vous entretenir, ici pésentement la maintenant, en vous prenant à l'écart afin d'avoir votre totale attention... euh... On va rester chacun de son coté de l'ordinateur en fait, restez chez vous à lire ceci, on discuteras plus tard...

Rappel de l'épisode précédent : (oui, on fait dans les règles de l'art ici...)

Il marchait, seul, à travers les dunes éternelles et cristallines, amas de poudreuse infinis. Il avait laissé derrière lui le cadavre dépouillé du Dalmutha, gardant pour lui la chair et la fourrure. La traque recommençait, comme à chaque Hiver. Il lui fallait du gibier, et cette année, il s'était déplacé loin au Sud, bien trop loin pour ses vieux os. Se penchant un peu, il examina la neige immaculée étendue devant lui. Des empreintes. Un troupeau de Lamotis, qui se dirirge au Nord. Inquiétant. Ces bêtes ne quittent leurs forêts que rarement, lorsqu'un prédateur les en chasse. Or il n'avait jamais chassé le Lamoti, trop dangereux. Mais il faut apprendre à faire pitance de toute chair. Alors il mit cap au nord glacé, celui qui donne froid dans le dos, celui qui conserve vos traces de pas comme aucun autre. En chemin, il découvrit pourquoi les Lamotis avaient fui leurs forêts givrées. Traqués par une bête immonde, dont les empreintes griffues lacéraient la neige tachée du sang bleu des nobles créatures. Malgré la peur et la crainte respectueuse que lui inspirait les Lamotis, il ne pouvait les laisser mourir aussi facilement au pattes d'une de ces horreurs constellée de piquants.

Et maintenant, place à l'action : (toujours dans les règles de l'art, mossieur...)

Le Blizzard se lève, le vent souffle, glacial mais réconfortant, sussurant aux oreilles attentives les milles histoires que lui seul connait, lui qui est allé partout ou il peut aller, chuchotant à qui veut l'entendre des vers et des rimes sublimes, qui charment l'oreille et le coeur, pour mieux vous attirer vers son antre, la ou il vous attend pour vous dévorer de son froid mordant.
Seul il allait, seul il suivait le chemin des Dalmuthas, seul il affronterais les Lamotis. Chacun de ses pas se faisait lourd sur son chemin, il s'enfonçait toujours plus dans la neige, la grande dévoreuse blanche, celle ou tout commence et tout finit... En marchant, il pensait. Il repensait aux temps anciens, lorsqu'il était enfant, et que le sage du bourg racontait les temps ou le monde n'était pas gelé. Un monde vert et bleu, au lieu du blanc uniforme qu'ils observaient ici... Il y avait même des gens qui mourraient de chaleur, dans des endroits appellés déserts de sable... Quel rêve, quel paradis que de ne pas devoir porter trois peaux de Moufflaks, de pouvoir être nu... Complètement nu sans se soucier des engelures...
Mais sa destinée était celle de la caste des traqueurs... Chercher de la viande pour la tribu. Tel était son rôle. Et aujourd'hui il savait que peut être finalement, il avait trouvé sa place. Parmi les anciens, dans le froid et la glace, seul. Comme c'était une délicieuse pensée, que de se savoir en osmose avec son environnement, savoir que quoi qu'on fasse, tout irais bien, puisqu'il en était décidé ainsi... A marcher seul dans le froid pendant longtemps, l'homme avait rejoins ses prédateurs, et ce fut sereinement qu'il tira la première cartouche, et qu'il vit tomber un Lamoti à terre, la tête perforée de part en part. Tout aussi calmement, il sortit son Tulwar et se prépara à recevoir la charge dévastatrice des trois Lamotis restant. D'un mouvement ample du bras, il trancha le vif devant lui, faisant siffler l'air devant lui, alors que le Lamoti sautait sur la droite, esquivant le coup. Malgré ses années d'entrainement et de survie, il ne fit pas le poids face à ces trois prédateurs naturels qui avaient eu toute l'évolution pour parfaire leurs dons de tueurs acharnés...

Ecrit par Sillon, à 21:44 dans la rubrique "Écrits Vains".

Commentaires :

  Eurydice
Eurydice
15-03-05
à 14:51

C'est vraiment sympathique ce que t'écris, ça fait un peu surréel c'est agréable comme histoire!

Bizoux

Répondre à ce commentaire

  Sillan
Sillan
15-03-05
à 16:47

Re:

Oui, je crois bien avoir fait exprès de la faire surréelle, mais je suis pas content du résultat. c'est un texte baclé et finit pour une heure spécifique. Quand je travaille mon texte, je trouve que j'arrive à mieux, seulement j'avais un autre truc en tête à ce moment là... allez savoir quoi ;)
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