Comme ceux qui seront venus ici hier soir l'auront remarqué (les autres peuvent sauter ce paragraphe) je n'ai rien posté. Honte sur moi, j'ai pris du retard dans mes prévisions. PLutot que de tenter de me faire pardonner en expliquant les milles raisons qui m'en ont empéché (a commencer par cette blondeur qui... non, je n'ai rien écrit), je vais plutôt faire mon possible pour que dorénavant cela ne se reproduise plus.
Quand on voit écrit "parler de moi" on pourrait croire que je fais comme Rousseau : "je jure de ne parler que de moi, moi, moi et encore moi, seulement moi et tout le moi" (c'est une citation qu'il n'a jamais dite à ma connaissance). Et bien je vais vous consterner, mais Non. Non je ne vais pas me présenter comme sur tout blog qui se respecte, parce que non. Premièrement je ne me prends pas au sérieux, alors à quoi bon se présenter sérieusement ? Non, je vais parler de motivation. Non pas motivé motivé pour gagner, mais la motivation qui vous pousse à faire des choses (A ce sujet, je vous conseillerais de lire "L'Ultime Secret" de Bernard Werber, c'est édifiant).
Le matin, qu'est ce qui vous pousse à vous lever ?
Devant une très jolie fille au visage d'ange et au lèvres carmines (ou un mec qui vous attire, peu importe votre orientation) vous avez envie de l'embrasser, et vous ne le faites pourtant pas. Qu'est ce qui vous motiverais à le faire ou ne pas le faire ?
Qu'est ce qui pousse un être normalement constitué à prendre un fusil, descendre dans la rue et abattre (deux fois descendre c'était mauvais pour le rythme tragique de phrase, tout comme cette inutile parenthèse) plusieurs innocents de sang froid ?
Réfléchissez (après coup pour certains, avant pour d'autres) à ce qui vous pousse réellement à faire quelque chose.
Pourquoi vous soumettez vous à l'autorité d'un chef ?
Pourquoi ne l'envoyez vous pas chier alors que l'envie vous démange réellement (pour ceux qui diraient que jamais il n'ont eu cette idée, deux solution : vous avez couché avec votre patron(ne) ou vous êtes un lèche-c... -botte sans espoir d'amélioration) ?
Et ne répondez pas par une faribole de "carcan de la société mise en place", c ne serait que vous cacher derrière une masque de traitrise et d'hypocrisie. Moi ce carcan je le brise quand je veux, mais je n'en ressent pas le besoin fondamental, et puis j'ai trop peur des conséquences. Les arabes rotent à table et c'est parfaitement poli. La co... pine de mon oncle à failli me foutre une tarte à table à cause de ça... Et dire que j'étais plus près des pays arabes que jamais à ce moment là... Une fois j'ai pris un parapluie rose, j'ai sauté sur une farole et j'ai chanté "I'm singing in the rain, just singing in the rain..." par un beau jour d'hiver avec un beau soleil d'hiver. Et à ce moment précis, il n'y avait plus de société, de carcan ou quoi que ce soit. Il y avait moi, le parapluie, la farole... et ma soeur qui tirait sur mon manteau pour me faire descendre. Pourtant dès que je suis devant cette rousse du lycée, je peux pas faire autrement, je joue un rôle... je suis idiot, totalement. je sors des blagues pas drôles, je soupir à chaque fois qu'elle ne m'entend pas, et j'ai un besoin irrésistible d'être avec elle malgré ma nullité en sa présence.
Bon, je vais arretter, sinon ça va tourner au post mélancolico-dramatico-tragico-débile ou je rends compte de toutes mes frustrations d'enfant malheureux qui ne peut trouver en lui le courage de mener jusqu'a son début une relation qui de toute façon ne lui plaira pas.
Il parait qu'on apelle cela... "La Quête du Grand Amour".
Après cette interruption intempestive de moi même, (Sillan, un peu de tenue tout de même) nous pouvons revenir dans le sujet originel (voire original, on ne sait jamais) pour que je puisse vous ennuyer encore plus sur... Pourquoi j'ai changé de pseudo et de blog. Pour cela, voir le premier article en fait... C'est bon vous avez échappé à la torture suprème du Rousseau-ïsme aigüe qui me tient lieu de... de quoi en fait ?
